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      Comme
      chaque année nous venons vous souhaiter une bonne fête de Pessah. Évènement
      que nous considérons comme le plus important de votre histoire. Nous
      restons vigilants devant cette confusion et cette agitation, où tous les
      efforts sont faits pour trouver une accusation envers Israël. Comme le
      dit Albert Soued : « pour
      l’entraîner dans les cours de justice, dans les arènes du web et des médias,
      pour le lapider, espérant le liquider ».
      Nous restons confiants pour le futur d’Israël. Isaïe nous rappelle que
      — « La
      gloire du Seigneur va se révéler, et toutes les créatures, ensemble, en
      seront témoins: c'est la bouche de l'Éternel qui le déclare ».
      Avec tous les amis de la Commission d’Israël nous vous souhaitons un
      bon courage, soyez assuré de notre amitié sincère et du désir de
      poursuivre notre engagement comme nous l’avons fait dans le passé,
      comme nous le faisons actuellement et désirons le continuer.  
       
      *   
      *    * 
       Les
      Israélites étaient esclaves des Égyptiens et le temps marqué par l'Éternel
      pour leur délivrance étant venu. Leurs oppresseurs
      essayèrent de les retenir dans un but intéressé, et refusèrent de les
      laisser partir pour le pays de Canaan. 
      Le
      Seigneur envoya neuf différentes plaies sur l'Égypte au cours de l'année
      ; il délivra les Égyptiens de chacune d'elles à la requête de leur roi
      implorant grâce et faisant des promesses qu'il refusait ensuite d'exécuter. 
      Le
      serviteur de l'Éternel, Moïse, annonça enfin un grand malheur
      qui allait frapper toutes les familles de l'Égypte ; les 
      premiers-nés devaient tous mourir la même nuit. Dans la maison du plus
      humble comme dans la maison
      du roi, le deuil serait grand. 
      Cette
      épreuve devait enfin amener les Égyptiens à laisser partir les Israélites,
      à leur faire précipiter leur départ même, de peur que l'Éternel ne détruisit
      le peuple tout entier, si le roi endurcissait encore son cœur et résistait
      aux ordres de Dieu. 
      Gilbert
      Hermetz 
      Rédaction
      : Jacques Obojtek      —    Lire
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